Insoumise
Il m’a demandé de passer le voir, il avait envie de me baiser. Le matin même, je m’étais caressée en pensant à lui. J’ai hésité, puis je lui ai précisé: « Si je passe tu as intérêt à bien me faire mouiller et à bien me faire crier ». Quelques heures plus tard nous nous sommes retrouvés devant un parc non loin de son appartement! À peine à l’abri des regards indiscrets dans l’ascenseur il glisse sa main sous ma jupe, presque déçu de constater que je porte une culotte! Une fois franchie la porte de son studio, il m’invite à prendre place sur son canapé impatient de me branler la chatte! Je me déshabille et m’installe confortablement pour profiter au mieux de l’instant! Comme à chaque fois, je sais qu’il ne m’embrassera pas, que je ne le sucerais pas, je ne l’ai jamais fait. Son plaisir il le prend à écarter mes lèvres intimes et mettre en branle mon clito. C’est pour ça que je suis venue, je sais qu’il s’attardera longtemps sur mon intimité, que ça l’excite au plus haut point de me voir mouiller, il sait qu’il va ensuite pouvoir me baiser!
Depuis que je suis arrivée, je suis ses instructions, c’est un dominant, il me veut sa soumise. Il me demande de me mettre à quatre pattes. Il me bande les yeux et va chercher un petit fouet. A chaque petit moment d’attente il m’ordonne de me caresser. Il me crache sur la chatte, me doigte, me fouette. L’obscurité dans laquelle il me plonge accroît mon abandon et mon plaisir. Il fouille avec son doigt mon petit trou, tout en continuant de stimuler mon clito. Il me demande de lui faire face. Je m’exécute, lui obéir sur l’instant m’excite. Son majeur s’agite en moi alors qu’il fouette désormais mes tétons! Je sens que la jouissance arrive. Après un retentissant orgasme, je me retrouve à quatre pattes au sol, le bandeau encore sur les yeux, je le laisse me prendre en levrette. Il aime m’avoir à sa disposition. Ses coups de reins viennent au plus profond de mes entrailles, me procurer des sensations à la limite de la douleur mais me gratifiant en réalité d’un plaisir intense. Je ne peux m’empêcher de laisser échapper des hurlements de plaisir à en déranger le voisinage. Il me pilonne, ravi que sa queue me fasse crier ainsi. Il aime me voir « salope ». Il peut me baiser ainsi comme une « chienne », savoir que j’aime ça, que je suis venue pour ça. Il peut « me la mettre bien profond » autant qu’il veut, prendre le contrôle sur moi. Il aimerait s’aventurer en un lieu plus étroit, mais il me plait de lui refuser ce plaisir. Il peut m’utiliser, user et abuser de moi, mais j’aime lui résister, je sais qu’ il n’ira pas contre mon gré.
Après s’être appliqué à me baiser comme il se doit, il jouit sur mes seins. Je me rhabille rapidement pour ne pas être trop en retard à mon rendez-vous à quelques stations de là. Il me demande avant de partir: « Alors, tu reviendras? ». Le voilà, lui le « Dom » désormais soumis à ma volonté.
Depuis que je suis arrivée, je suis ses instructions, c’est un dominant, il me veut sa soumise. Il me demande de me mettre à quatre pattes. Il me bande les yeux et va chercher un petit fouet. A chaque petit moment d’attente il m’ordonne de me caresser. Il me crache sur la chatte, me doigte, me fouette. L’obscurité dans laquelle il me plonge accroît mon abandon et mon plaisir. Il fouille avec son doigt mon petit trou, tout en continuant de stimuler mon clito. Il me demande de lui faire face. Je m’exécute, lui obéir sur l’instant m’excite. Son majeur s’agite en moi alors qu’il fouette désormais mes tétons! Je sens que la jouissance arrive. Après un retentissant orgasme, je me retrouve à quatre pattes au sol, le bandeau encore sur les yeux, je le laisse me prendre en levrette. Il aime m’avoir à sa disposition. Ses coups de reins viennent au plus profond de mes entrailles, me procurer des sensations à la limite de la douleur mais me gratifiant en réalité d’un plaisir intense. Je ne peux m’empêcher de laisser échapper des hurlements de plaisir à en déranger le voisinage. Il me pilonne, ravi que sa queue me fasse crier ainsi. Il aime me voir « salope ». Il peut me baiser ainsi comme une « chienne », savoir que j’aime ça, que je suis venue pour ça. Il peut « me la mettre bien profond » autant qu’il veut, prendre le contrôle sur moi. Il aimerait s’aventurer en un lieu plus étroit, mais il me plait de lui refuser ce plaisir. Il peut m’utiliser, user et abuser de moi, mais j’aime lui résister, je sais qu’ il n’ira pas contre mon gré.
Après s’être appliqué à me baiser comme il se doit, il jouit sur mes seins. Je me rhabille rapidement pour ne pas être trop en retard à mon rendez-vous à quelques stations de là. Il me demande avant de partir: « Alors, tu reviendras? ». Le voilà, lui le « Dom » désormais soumis à ma volonté.
Dégustation
Suite à un rendez-vous médical, me voilà libérée plus tôt de mes obligations professionnelles. J’envoie un message à mon amant et nous nous donnons rendez-vous à proximité de la gare Saint Charles à Marseille. Cette gare que j’ai parcouru tant de fois, et où j’ai de nombreux souvenirs. Je lui propose une petite balade dans le parc à proximité, nous profitons des recoins cachés pour faire des haltes pour nous embrasser ou nous enlacer. Au fur et à mesure que nous marchons, je lui raconte, qu’à cet endroit, une dizaine d’années plus tôt, mon premier petit ami avait glissé sa main dans ma petite culotte. La cage d’escalier à quelques mètres de là, a également accueilli quelques ébats avec un autre amant quelques mois plus tôt. Au fur et à mesure de mes récits, je sens son désir monter, je lui chuchote à l’oreille mon envie de le prendre en bouche. Alors qu’il m’embrasse avec fougue, je sens sa verge bien dure à travers son pantalon. Il nous faut trouver un endroit discret. Vite.
Nous passons alors à proximité de toilettes publiques, sans trop réfléchir, mon amant m’entraine à l’intérieur et ouvre la porte des toilettes handicapés. Nous y entrons tous deux et nous y enfermons. Ce n’est pas un lieu des plus romantique, mais parfait pour avoir un peu d’intimité. Je vais enfin pouvoir profiter de mon amant, l’embrasser, le prendre dans mes bras, et surtout, avoir le plaisir de me délecter de sa belle queue. Hummm j’aime le sentir vibrer sous ma langue. J’adore prendre mon temps et le titiller, l’aspirer, le prendre bien en bouche, et entendre ses gémissements de plaisir. L’excitation est tellement forte, qu’il ne tarde pas à m’avertir: « Oh Marie, je vais jouir… » Je continue de plus belle, lui faisant ainsi comprendre, que j’étais prête à assumer les conséquences de mes actes. Je veux qu’il aille au bout de son plaisir, il me tarde de pouvoir le goûter. Ses tremblements et ses gémissements intenses m’alertent de l’arrivée imminente de sa jouissance. Son abondante semence se déverse dans ma bouche, pour mon plus grand plaisir. Mon amant, giclera en trois fois pour me permettre d’avaler l’intégralité de son foutre.
Bientôt, il me faut reprendre le métro, j’ai adoré rentrer chez moi, avec son goût en bouche.
Nous passons alors à proximité de toilettes publiques, sans trop réfléchir, mon amant m’entraine à l’intérieur et ouvre la porte des toilettes handicapés. Nous y entrons tous deux et nous y enfermons. Ce n’est pas un lieu des plus romantique, mais parfait pour avoir un peu d’intimité. Je vais enfin pouvoir profiter de mon amant, l’embrasser, le prendre dans mes bras, et surtout, avoir le plaisir de me délecter de sa belle queue. Hummm j’aime le sentir vibrer sous ma langue. J’adore prendre mon temps et le titiller, l’aspirer, le prendre bien en bouche, et entendre ses gémissements de plaisir. L’excitation est tellement forte, qu’il ne tarde pas à m’avertir: « Oh Marie, je vais jouir… » Je continue de plus belle, lui faisant ainsi comprendre, que j’étais prête à assumer les conséquences de mes actes. Je veux qu’il aille au bout de son plaisir, il me tarde de pouvoir le goûter. Ses tremblements et ses gémissements intenses m’alertent de l’arrivée imminente de sa jouissance. Son abondante semence se déverse dans ma bouche, pour mon plus grand plaisir. Mon amant, giclera en trois fois pour me permettre d’avaler l’intégralité de son foutre.
Bientôt, il me faut reprendre le métro, j’ai adoré rentrer chez moi, avec son goût en bouche.
Dans le lit conjugal
Samedi soir, il est bientôt 21 heures, je me dépêche de terminer la vaisselle, je sais que sa venue est imminente. Cela fait des mois que je souhaitais organiser cette petite soirée, mais de nombreux contre temps sont venus perturber ce projet. On sonne à la porte, j’en sursaute presque. L’excitation probablement. Je lui ouvre la porte et lui souris, il est rasé de près et s’est fait tout beau pour l’occasion, je ne peux que le trouver craquant. Mon jeune mari est installé sur le canapé, il se lève pour souhaiter la bienvenue à mon invité. Nous ouvrons la bouteille qu’il a apporté, et discutons un peu. Mon homme est un peu en retrait, la télévision est allumée sur un documentaire qui semble l’intéresser. Je sais de toute façon qu’il préfère rester discret. Au fil de la conversation avec mon invité, les idées s’échauffent les regards deviennent coquins, je m’approche de lui et lui propose de me suivre dans la chambre juste à côté. Nous commençons à nous enlacer et échanger quelques baisers fougueux, il me déshabille et alors que je suis presque nue, mon amant me prévient: « Surtout tu me dis s’il y a quelque chose qui pourrait vous mettre mal à l’aise ». Il est adorable, je sais que je peux poursuivre sans crainte, il respectera mes envies et le fait que mon homme reste en retrait. Avant de continuer, je retourne quelques instants dans le salon où mon mari regarde tranquillement le documentaire. Je l’embrasse et lui tend l’appareil photo: « Je vais bien me faire baiser, tu peux venir quand tu veux, et tu as l’obligation de prendre des photos. » Je laisse la porte ouverte.
Les heures qui ont suivies furent très agréables, de longues caresses, la langue de mon amant au plus près de mon intimité, sa queue dans ma bouche, nos corps entremêlés, ses mouvements de bassins. Nous nous sommes abandonnés au plaisir. Je n’ai pu m’empêcher de crier attisant la curiosité de mon amoureux qui est venu à plusieurs reprises avec l’appareil photo. Qu’il est agréable de le regarder tandis que mon amant œuvre à mon plaisir. Je l’invite à me rejoindre, j’ai envie de lui aussi. Il n’ose pas encore. Quelques minutes plus tard, il me fera le plaisir de me tendre sa belle queue, qu’aussitôt je prends en bouche, heureuse d’être ainsi si bien entourée. Encore de longs moments de plaisir avant que je ne délaisse mon amant quelques secondes pour aller récupérer l’appareil photo. Envie d’immortaliser aussi cet instant de nos points de vue à nous.
Le lendemain, c’est avec plaisir que je découvre le contenu de l’appareil photo, les quelques photos prises par mon amant et moi, alors que mon mari voyeur a préféré prendre des vidéos.
Les heures qui ont suivies furent très agréables, de longues caresses, la langue de mon amant au plus près de mon intimité, sa queue dans ma bouche, nos corps entremêlés, ses mouvements de bassins. Nous nous sommes abandonnés au plaisir. Je n’ai pu m’empêcher de crier attisant la curiosité de mon amoureux qui est venu à plusieurs reprises avec l’appareil photo. Qu’il est agréable de le regarder tandis que mon amant œuvre à mon plaisir. Je l’invite à me rejoindre, j’ai envie de lui aussi. Il n’ose pas encore. Quelques minutes plus tard, il me fera le plaisir de me tendre sa belle queue, qu’aussitôt je prends en bouche, heureuse d’être ainsi si bien entourée. Encore de longs moments de plaisir avant que je ne délaisse mon amant quelques secondes pour aller récupérer l’appareil photo. Envie d’immortaliser aussi cet instant de nos points de vue à nous.
Le lendemain, c’est avec plaisir que je découvre le contenu de l’appareil photo, les quelques photos prises par mon amant et moi, alors que mon mari voyeur a préféré prendre des vidéos.